C'est dans quinze jours maintenant que va débuter notre cycle de stages. Les thèmes proposés par ma collègue Yolande et moi-même sont issus de notre expérience, de notre pratique avec les patients.
Ces cinq thèmes, quelque soit la façon dont on les aborde, rejoignent les problématiques principales que nous voyons à l'oeuvre dans nos cabinets d'analyse ou de thérapie.
Nous débutons avec le thème du groupe familial, groupe d'origine, que j'ai déjà évoqué dans le billet "les atouts du groupe de thérapie".
On retrouvera aussi dans leurs énoncés (moi et la famille, moi et le corps, moi et l'autorité, moi et le désir, moi et le futur) la prise en compte du contact que j'explicitais dans le billet précédent. Il y a moi, l'autre et puis ce "et" qui signe la mise en rapport.
Le premier terme est moi, car c'est moi qui suis le siège de la perception, c'est donc depuis moi que tout se décrit, se vit, s'interprète, s'imagine...
Côté pratique, je ne suis pas disponible pendant un douzaine de jours. C'est donc auprès de ma collègue Yolande qu'il faut s'inscrire pour notre stage famille. Ses coordonnées sont notées sur le flyer ci-dessus (cliquez sur l'image pour l'agrandir).
Ces cinq thèmes, quelque soit la façon dont on les aborde, rejoignent les problématiques principales que nous voyons à l'oeuvre dans nos cabinets d'analyse ou de thérapie.
Nous débutons avec le thème du groupe familial, groupe d'origine, que j'ai déjà évoqué dans le billet "les atouts du groupe de thérapie".
Le premier terme est moi, car c'est moi qui suis le siège de la perception, c'est donc depuis moi que tout se décrit, se vit, s'interprète, s'imagine...
Côté pratique, je ne suis pas disponible pendant un douzaine de jours. C'est donc auprès de ma collègue Yolande qu'il faut s'inscrire pour notre stage famille. Ses coordonnées sont notées sur le flyer ci-dessus (cliquez sur l'image pour l'agrandir).
1 commentaire:
Ce premier thème nous a questionné sur la famille enchevêtrée ou la famille désengagée, nos loyautés plus ou moins conscientes, nos modèles, nos introjets à son sujet, notre roman familial et nos récits de vie respectifs....
Le sujet, ne serait-il pas avant tout une narration sans cesse en construction et déconstruction, du vivant sculpté jour après jour que l'environnement éclaire chaque jour différemment?
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